Jeudi 20 juin 2024

Concerts, DJ set

Le Couvent

19h à 00h

Le Couvent
52 rue Levat
13003 Marseille

Prix conseillé : 5€

IVOR

Dj set (Ghana – Marseille)

Ivor est un Africain citoyen du monde. Né au Ghana, il grandit à Londres, avant de passer une dizaine d’années au Sénégal et de poser valises et rondelles à Marseille, il y a 8 ans.
Ivor est un dingue de musique et de musiques africaines plus particulièrement. Sans limites. Il kiffe aussi bien les vieux sons, les galettes de highlife ou d’afrobeat, que les tracks des pionniers du hip-hop des maquis ou les fichiers numériques des jeunes pousses au micro. Les hymnes kwaїto des premiers temps de la house sud-africaine ou les derniers succès de gqom n’ont pas de secret pour lui. Ses mixes 100% afro croisent tous ces univers et nous racontent à sa façon un continent musical et son histoire jusqu’au-delà des mers, dans ses diasporas…

ANAIS ROSSO

Blues, Folk, Indé (Paris)

Photo : Léa Baert

Anais Rosso : (voix, machines, guitare)
Frejus Atta : (batterie)

Créatrice d’un univers hybride qui questionne l’identité sous toutes ses formes, Anaïs Rosso est une artiste autodidacte. A la croisée du blues et de l’opéra, de l’électronique et du baroque, elle s’amuse de ses inspirations hétéroclites telles que les Rita Mitsouko, Maria Callas, Henri Salvador ou les Fugees. Accompagnée de sa guitare et ses machines, sa voix de ténor puise dans les invocations du blues et des pleureuses d’Afrique. Elle n’hésite pas à se travestir pour revêtir plusieurs identités de genre : Anaïs est une conteuse traversée par divers personnages. Elle sera accompagnée à la batterie par Frejus Atta, son complice du moment, pour ce tout premier concert à Marseille.
Au fil de ses compositions, elle livre des textes sans pudeur, persuadée qu’il réside dans l’intime quelque chose d’universel : l’amour, la mort et les extraterrestres”.

Récemment lauréate du Tremplin WomenBeats, elle est actuellement en train de composer son premier EP

BONGI

Afropop (Cape-Town – Marseille)

Photo : Laurent Marseye

Bongi : (voix lead)
Dimitri Reverchon : (batterie, percussions)
Stéphane Salerno : (guitare)

La presse en parle

Aujourd’hui la maturité est là. Ses propres compositions sont […] chargées de tradition, qu’elle ponctue aux percussions avec une réelle élégance.
Telerama

Sur scène, elle invite à un véritable voyage musical, solidement encadrée par trois excellents «stewards» français.
Jeune Afrique

Artiste pluridisciplinaire, originaire de Cape-Town et marseillaise d’adoption, Bongi mène une correspondance insolite entre deux continents, mêlant folk-urbaine et afro-pop dans un crépitement de voix et d’énergie qui ravivent les traditions musicales d’Afrique australe. Ses chansons en Xhosa, son idiome natal et langue de Nelson Mandela, claquent sous le palais et tracent un arc musical panafricain à la fois magnétique et ensorcelant. Le métissage fertile d’une culture en exil.

Dans les incantations ou dans les chuchotements, Bongi sait donner du souffle à la musique de ses racines sud-africaines. En l’arrosant de sa voix polymorphe, suave ou grave, de ses envolées mélodiques ou encore de son troublant chant diphonique, auquel elle donne un éclat inouï dans l’écrin délicat des guitares et des rythmiques tout-terrain.

Lorsque se brouillent les frontières, l’hybridation de Bongi semble encore plus claire : sa world-pop s’épanouit quand elle prend langue avec le maskanda, ce blues polyrythmique zoulou, ou quand la folk-music chargée de spiritualité s’emballe au contact des percussions.